MÉTHODE DE GYLDÉN.
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On pose
( 22 )
,, à eos/?.Tl
dv
En comparant ces deux expressions de Q, après avoir développé dans la pre
mière (i h- p )~ 2 suivant les puissances de p, on trouve
Il ne faut prendre, dans le second membre, que les termes pour lesquels les
indices s et v sont positifs. Nous supposerons, pour simplifier, les inclinaisons
nulles; nous aurons alors
Les coefficients qui figurent dans ces formules s’expriment simplement, par
les formules (21) et (28), à l’aide des coefficients analogues dans le développe
ment de Q .
Pourvoir comment on tient compte des inclinaisons, nous renvoyons le lec
teur à un Mémoire étendu de M. Olsson, Ueber die absohite liahn des Planeten
(i 3 ) Egerie, Stockholm, 1898.
173 . Temps réduit. — Il s’agit de voir comment on exprimera t en fonction
de v. Reprenons la formule (b), et posons-y
, 3, i Q («>*,*')
( 23 )
H = v — v';
à cos «H
— — n sin n(v — v'),
et les formules (20) et (22) deviendront
( 24 )
= 2m , '2é{ — l) v P(/2, S, S^v.v'PyW 27 ' COS«(e — V 1 ),
{ Q — 2 m , 'L{ — i) v+ ' nQ(n, s, s') v yp s p' s 'r] iy n ,2V sinn(c — v').
k
a \J a
n sera une constante absolue, et il viendra
mais, à l’exemple de Clairaut et de Laplace dans le cas de la Lune, M. Gyldén