Full text: Théories des satellites de Jupiter et de Saturne. Pertubations des petites planètes (t. 4)

MÉTHODE DE GYLDÉN. 
387 
On pose 
( 22 ) 
,, à eos/?.Tl 
dv 
En comparant ces deux expressions de Q, après avoir développé dans la pre 
mière (i h- p )~ 2 suivant les puissances de p, on trouve 
Il ne faut prendre, dans le second membre, que les termes pour lesquels les 
indices s et v sont positifs. Nous supposerons, pour simplifier, les inclinaisons 
nulles; nous aurons alors 
Les coefficients qui figurent dans ces formules s’expriment simplement, par 
les formules (21) et (28), à l’aide des coefficients analogues dans le développe 
ment de Q . 
Pourvoir comment on tient compte des inclinaisons, nous renvoyons le lec 
teur à un Mémoire étendu de M. Olsson, Ueber die absohite liahn des Planeten 
(i 3 ) Egerie, Stockholm, 1898. 
173 . Temps réduit. — Il s’agit de voir comment on exprimera t en fonction 
de v. Reprenons la formule (b), et posons-y 
, 3, i Q («>*,*') 
( 23 ) 
H = v — v'; 
à cos «H 
— — n sin n(v — v'), 
et les formules (20) et (22) deviendront 
( 24 ) 
= 2m , '2é{ — l) v P(/2, S, S^v.v'PyW 27 ' COS«(e — V 1 ), 
{ Q — 2 m , 'L{ — i) v+ ' nQ(n, s, s') v yp s p' s 'r] iy n ,2V sinn(c — v'). 
k 
a \J a 
n sera une constante absolue, et il viendra 
mais, à l’exemple de Clairaut et de Laplace dans le cas de la Lune, M. Gyldén
	        
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