SUITE DE LA MÉTHODE DE GYLDÉN.
t
9
«
/| O I
On trouve ainsi
/.¡3 = 4,606.60, /.y = 4 , 4 12 - 22 «» z.ç = 4,305.57,
On a n = 770", 4 i 1, en un jour; les valeurs de g, g t , g 2 sont exprimées en pre
nant l’année julienne pour unité ; donc on doit prendre
on trouve ainsi
a =
_ 8 _ .
365 . 20n ’
l.(J = 5 ,128.21, /.<7,= 5,902.86,
l. cr 2 — 5 ,oo 4-33 ;
a, a-, et cr 2 sont, comme ç, des nombres abstraits. On a ensuite
et il vient
( 25 )
e 0 — sin 4 ° 22 , 37 ,/ , /. e 0 = 2,882.62 ,
f (p) = (2,882.62)cos[(
I — ç)v — G 7 0 ]
I — (6,741. 36 )csin
[(- ï T i )'- r ]
\ —( 6 , 3 oi .77)csin
— (7^596.49)csin
[(' r; ]
On peut remarquer que, dans la formule (17), les coefficients a*- sont rela
tivement considérables, à cause des diviseurs 07 — ç qui sont très petits. On a,
en effet,
a =o,ooo.oi 3 . 43 , a —ç=—0,000.188.67,
CT, = 0,000.079.96, ( 7 j — Ç — — 0,000. 122.1 4 j
cr 2 = O , OOO .OTO.IO, < 7 % — Ç = — O, OOO .192.00,
Ç = 0,000.202. 10 ,
et il en résulte
I (p) = x 0 cos[(i — ç)e —T] 4 - (2,465.66) cos[(1 —7 ) u — T]
(26) -+- (2,214.91) cos[(i — aO«» — F, ]
( H- ( 3 , 3 j 3 .19) cos[(i — <7 S ) c — F,].
C’est après la détermination des constantes arbitraires que, dans la formule ( 23 ),
a,- se trouve multiplié par le facteur
. <7i — Ç
2 Sin V ,
2
qui, même pendant plusieurs siècles, est très petit. Ainsi, pour Çérès, ç augmente
T r - IV, 5 |