SUITE DE LA MÉTHODE DE GYLDÉN.
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Nous ne nous occuperons pas des approximations ultérieures qui demande
raient des développements assez longs; nous nous contenterons de renvoyer le
lecteur au Mémoire de M. Masal, Entwickelung der Reihen der Gyldèn sehen Stö
rungstheorie bis zu Gliedern zweiter Ordnung ( München, 1892), et aussi au Mé
moire de M. Olsson, lieber die absolute Bahn des Planeten ® Egeria (Stockholm,
Nous remarquerons cependant que, dans ce dernier travail, l’expression de
se compose de plus de cent termes de la forme
où £ est très petit; il est vrai qu’on a tenu compte aussi des inclinaisons. Vu la
petitesse des coefficients e, il semblerait plus commode de réduire tous les
termes en question à deux termes tels que
cela suffirait pour un intervalle de plusieurs siècles.
Nous remarquerons encore que l’on pourrait calculer aisément, dans les mé
thodes anciennes, des Tables analogues à celles de M. Masal, en se bornant aux
premières puissances des excentricités.
180 . Analyse du Mémoire de M. Brendel, Om Anvàndningen af den ab-
soluta Stôringsteorien ... (Annales de l’observatoire de Stockholm, t. IV). — Ce Mé
moire contient un exposé assez simple de l’application des méthodes de M. Gyl
dèn au cas de la planète @ Hestia, dont le moyen mouvement est voisin du
triple de celui de Jupiter.
Rappelons d’abord que, dans la méthode adoptée, les équations à intégrer
présentent l’un des deux types suivants :
où les quantités A, et B t sont de l’ordre de m' . il y a lieu de considérer d’une
manière spéciale les termes pour lesquels
A cos(p -+- ev -h A'
A cos (p h- A') + s t v sin( v + Ai )
I.
ç) 2 p — C 0 S(^P 4 -Gi),
^ = 2 A i sin ( O v h- H/ ),
11
dans 1,
dans II,