L = w -+- gt ;
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On en déduit aisément
CHAPITRE XXVIII.
M. Lehmann-Filhès, dans l’ignorance où l’on se trouve du mouvement absolu
du Soleil, prend pour oc, ¡3 et y les composantes (d’ailleurs encore assez mal
connues) de la vitesse de translation du Soleil par rapport aux étoiles.
On ne peut s’empêcher de remarquer que, tandis que Laplace tient compte
seulement du mouvement relatif de la planète par rapportai! Soleil, M. Lehmann-
Filhès fait intervenir seulement le mouvement de translation du Soleil, à tel
point que, si l’on suppose a = |3 = y •= o, les équations (3) sont les équations
différentielles du mouvement elliptique.
Calculons oa et Sn, en supposant cp = o; nous aurons
Cherchons seulement la partie séculaire, et tenons compte de la relation
x y . -
- = cosL, — = sm i
/• r
Négligeons e~ y il viendra
da 2 r , a / . \t
-p- — - Resinw + S ( i e cosw , )J,
dt n
R = ~~pr~ ( a cosL h- (3sinL),
S =
(a sinL — (3 cosL);
da __ (x 4 - 2 e cosw) (asinL—(3cosL)
dt ncr
+ \ k' 1 [2 siruW a cosL S sinL) 4 - cos«'(a sinL— [3 cosL)].
nn L