VITESSE DE PROPAGATION DE 1 /ATTRACTION.
499
nous trouverons
da \ ld . 0 ,
— —r e ( oc si ncr — p cnsrn).
cil na-
Soit
oc sin cr — ¡3 cosw = sin H ;
sera la projection de la vitesse du Soleil sur le plan de l’orbite de la pla
nète, H l’angle que fait cette projection avec la direction du périhélie de la
L’inégalité est de l’ordre de celle à laquelle conduit la méthode de Laplace,
cette dernière étant multipliée par e , car o 0 est de l’ordre de e, dans le cas
de la Terre. On serait donc encore conduit à une vitesse de l'attraction beau
coup plus grande que celle de la lumière, bien que moins lorte, à cause du
facteur e.
Nous citerons encore un Mémoire de M. v. Hepperger (Sitzungsberichte de
Vienne, 1888), fondé sur les mêmes principes que celui de M. Lehmann-Filhès,
mais dans lequel l’auteur a tenu compte d’un certain nombre de termes com
plémentaires.
225. Loi d’attraction conforme à la loi électrodynamique de Weber.
— Nous passons maintenant à un ordre d’idées entièrement différent, concer
nant les phénomènes électrodynamiques. Gauss avait cherché une formule fai
sant connaître l’attraction mutuelle de deux éléments de courants, quand on
suppose que ces éléments, au lieu d’être en repos, sont animés d’un mouvement
relatif connu. Il avait obtenu, dans ce but, une formule qui n’a été publiée
qu’après sa mort, et sur laquelle nous donnons plus loin quelques indications.
Weber, de son côté, en a proposé une autre qui est bien connue; l’action mu
tuelle de deux éléments serait dirigée suivant la droite qui les joint, et son
intensité serait représentée, à un facteur constant près, par l’expression
da
dt
f ; 0 • ii
acte -ÿ Si n II,
„ 3 „ c 0 . „
6 n = et =7 sin H ,
2 V
( 6 )
c- cil- c * ' dt 2
i 4 i d* \Jr
/■ 2 c 2 y /7 dl- ’