THEORIE DES SATELLITES HE JUPITER.
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trouve
(33
| — ©, sin 0 , — At h-,..,
/ A^^Sîcosç,
S = o, cos 0, = B t -+-. . . ;
B = — ^ S.? sin g.
Il vient ainsi
D’où
¿/N 4 siny t p r/N 4 cosy 4
dt
dt
Ob v A t.
0 N 4 sin y 4 = - Oc 4 Ri 2 ; 0 N 4 cos y 4 = — - 0b 4 A / 2 .
Or, on a, en prenant encore le jour pour unité de temps,
A
o", 09557
365,25 ’
B = —
oV2949
365,25 ’
^4 = o°,000 0022 = — ¿> 4 , sensiblement,
où il faut encore multiplier x 4 par sin i°. En faisant/ — 365 200, ce qui cor
respond à dix siècles, on trouve seulement
< 3 N 4 siny 4 = — </,9.
Nous pouvons donc supposer
( 34 ) < 5 N 4 siny 4 = o, < 5 N 4 cosy 4 = o.
Les expressions (25) donnent ensuite, en développant suivant les puissances
de st et conservant ht sous les signes sinus et cosinus, parce que b , b tt />,, et
sont beaucoup plus grands que les s h
dN sin y
dt
n?N cosy
~dt~
— t ^ S s si n ( g — bt ) = dZ t (
— -X t ^ S.ÿcos(ç — ht) — OZt( —
B cos ht -f- A sin ht),
A cos ht + B sin bt),
d’où, en intégrant sans ajouter de constante,
. 3Z /
oN si n y = —- 1 B t si n ht — K t cos ht +
A sin bt -1- B cos ht
< 5 N cosy
DZ
— At sin ht — B t cos ht +
B sin ht — A cos ht \
)■
On en tire deux des équations suivantes, celles qui répondent à i = o,
3N* sin(6,/ + y/) =
( 35 )
n _ M t v ,
bf b, k
I ÎN,C0S(6,î + v,) = - 2 î a-Ç-'Bî I
\ bf h/ ;
T. — TV.
O‘=o, Ï, 2, 3 ).