THÉORIE DES SATELLITES DE JUPITER.
En portant dans la formule (8), il vient
r l sin 2 Pi — oc
d’où, en résolvant cette équation du second degré en sine, et négligeant le
On aura ainsi, en prenant le signe -b, l’arc e, décrit par le satellite en vertu
de son mouvement synodique, depuis la conjonction jusqu’à l’émersion; en
prenant le signe —, la valeur de sine, donnera, au signe près, l’angle décrit de
puis la conjonction jusqu’à l’immersion.
Soit i le temps que met le satellite à décrire l’angle e,. Posons
Soit T la moyenne des temps que le satellite emploie à parcourir l’angle
en appliquant la formule précédente, et remplaçant i, c, et X respectivement
par T, ^ et zéro, on aura
Les formules (9), (10) et (11) donneront ensuite
On a vu (Chapitre I) qu’en ayant égard aux inégalités les plus importantes,
on a
, J CIÒQ
carre de $n -7—>
ü av x
ds 0
( 9 )
n — ai
X sera égal à —— 1, en négligeant la petite quantité —• On pourra écrire ap
proximativement
(10)
n — n