Full text: Communications

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c) MÉCANISME RESTITUTEUR. 
1° Position. 
Le pont et les chariots se trouvent placés sous la table qui porte l'organe optique 
(chambres et lunette). Les relais sont placés sur cette table. 
Les règles sont tournées vers l’opérateur et celui-ci peut ajuster les composantes (le base 
et repérer la position des chariots sur le pont sans avoir à quitter sa place. 
2° Chariot et règles. 
Les chariots sont débrayables, ce qui permet de les déplacer rapidement et procure 
un gain de temps dans la formation de l’image plastique. 
Par rapport aux appareils type A, la longueur des règles est réduite; elles sont en 
acier spécial inoxydable. 
Les courses des coulisseaux portant les galets d’articulation des règles avec les chariots 
sont augmentées. En particulier l’amplitude de la base négative a été augmentée. Les 
limites des composantes de base sont les suivantes : 
B* = ± 230 mm By = ± 50 mm Bz = ± 50 mm 
Les courses des chariots sont : 
Chariot supérieur X : course = ± 240 mm. 
Chariot inférieur Y ou Z : course = ± 240 mm. 
Pont : déplacement de + 40 à + 350 mm. 
Dans un nouveau modèle la limite supérieure des éloignements du pont a été portée 
à 450 mm. 
3° Manivelle de commande. 
Pour un même sens de rotation, les manivelles peuvent déplacer les chariots ou le 
pont dans un sens ou dans l’autre. Ceci a pour but d’assurer le même déplacement relatif 
des index et des images observées dans les oculaires, quelle que soit la position relative 
des deux clichés du couple sur l'appareil : position directe ou positive : cliché droit à droite 
et cliché gauche à gauche, ou négative : cliché droit à gauche et cliché gauche à droite. 
Ces deux positions alternent régulièrement dans le cas où l’on exploite une bande continue 
de clichés verticaux. 
I n dispositif permet de permuter la commande du pont et du chariot inférieur poul 
ie passage des vues aériennes aux vues terrestres. 
4° Compteurs d’altitude. 
Les appareils type B sont munis d’un compteur d’altitude qui permet de lire direc 
tement en mètres et fractions de mètre l’altitude du point restitué. Ce compteur peut 
occuper deux positions distinctes sur l’appareil, suivant qu’il s’agit de vues terrestres ou 
aériennes. Ce compteur est muni de tambours gradués amovibles qui correspondent aux 
échelles courantes de restitution. Sept jeux de compteurs sont prévus, correspondant aux 
échelles suivantes ou à leurs multiples et sous-multiples décimaux : 
1 2 3 4 5 6 7 
5.000 10.000 15.000 20.000 25.000 30.000 40.000 
Remarque. — Malgré l'intérêt des compteurs en ce qui concerne la rapidité de lecture 
des cotes d’altitude, leur emploi n’est pas recommandé pour l'opération d’orientement de 
l’image plastique. En effet, l’opérateur contrôle cet orientement par des mesures d’altitude 
sur un nombre surabondant de points; s’il constate une erreur sur un point, il a tendance 
à répéter la mesure et, sachant le sens de l’erreur, il se laisse influencer involontairement 
et a tendance à modifier son pointé dans le sens favorable.
	        
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