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longueurs
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5Ie, Blé de
) I usieurs
it à partir
N. Bandes
N spectrales
Teinte Nv
1
380 nm/
420 nm
2
420 nn/
450 nr.
3
430 nm/
500 nm
4
500 nm/
550 nm
5
550 nm/
600 nm
6
6C0 nm/
650 nm
7
650 nm/
700 nn
8
700 nm/
800 nm
9
600 nm/
690 nm
10
920 nm/
1100 nm.
Mais
MaT s
MaT s
MaT s
MaT s
MaT s
MaT s
MaT s
Féverole
Blé de
print emps
CLAIRE
Betteraves
Betteraves
Betteraves
Betterave:
Betteraves
Betteraves
Betteraves
betteraves
i Orge
sucrières
sucrières
sucrières
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suerières
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sucrières
suer¡ères
1 Blé print.
(3lé hiver
\Betteraves
f Blé hiver
'Crge
jBlé hiver
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\ B lé hiver
i Blé hiver
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¡Blé hiver
j fourrager.
P.de terre
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'Blé print.
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Luzerne
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fuucrières
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Orge
P.de terre
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P. de terre
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Féverole
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P.de terre
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1 Orge
. Avoine
'Luzerne
(Orge
' fcurragèr.
Orge
j Betteraves
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Í Avoine
1 Betterave:
'Avoine
' feurragèr.
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( fourrogèr.
» Betteraves
\ fourracèr.
lAvoine
(Orge
(Blé print.
' Luzerne-
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'Féverole
Luzerne
'Aveine
f Blé hiver
Betteraves
fourrager.
(Féverole
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\Féverole
Avoine
fourragères
FONCEE
<Luzerne
’Luzerne
'Luzerne
Féverole
t Luzerne
Avoine
f Fevero1e
Tableau 2 : Identification de différentes cultures sur dos enregistrements mu11ispectraux à partir d’un avion.
Dans le cas'présent, certains canaux donnent plus d’information
que d’autres. Au lieu d’utiliser 10 canaux, il serait possible de n’en
utiliser que trois, les canaux : 7 (650-700 nm), 9 (800-890 nm) et 10
(920-1100 nm). Pour un vol fait à une autre date, les canaux à utiliser ne
seraient pas forcément les mêmes.
ConcI usion
Cet exemple monme que l’on peut identifier différentes cultures
à partir d’enregistrements faits à bord d’un avion avec un scanner mul+i-
spectral. L’identification se fait surtout en comparant les réponses des
cultures sur différents canaux. Dans le cas présenté il s’agit des bandes
spectrales : 650-700 nm, 800-890 nm et 920-1100 nm. Ces bandes correspon
dent pour les végétaux chlorophylliens respectivement : à la plus ou
moins grande absorption dans le'rouge due è la chlorophylle, et à la plus
ou moins grande réflectance dans le proche infra-rouge liée particulière
ment à la structure interne du feuillage.
COMPARAISON ENTRE LES MESURES AU SOL ET EN ALTITUDE
Un des buts de ce travail était de comparer les résultats obtenus
par les mesures au sol avec le spectro-radiomètre et les mesures en alti
tude avec le scanner mu 11ispectraI. Nous savions au départ que les rayon
nements réfléchis, enregistrés par l’un et l’autre systèmes, n’é + aient
pas directement comparables, puisque les importances relatives de la
réflexion spéculaire et de la réflexion diffuse n’étaient pas les mêmes.
Mais à défaut de faire des comparaisons d'ordre quantitatif, i I était in
téressant de faire des comparaisons d’ordre qualitatif.
Les bandes spec+rales du spectro-radiomètre, étant plus étroites
que ce I les du scanner mu 11ispectraI, nous avons transformé les courbes de
réflectance en histogrammes de fréquences cumulées pour des bandes spec
trales identiques à celle du scanner mu 11ispectraI.