Full text: Proceedings of Symposium on Remote Sensing and Photo Interpretation (Volume 2)

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ZUSAMMENFASSUNG 
• Der Verfasser analysiert in einer bodenkundIichen Hinsicht die 
Satellitenbilder, die auf Höhe gemachten Aufnahmen und die Luftbilder. 
Diese drei Dokumente legen eine Menge verschiedener Informationen vor, 
die aber dem Bodenkundler helfen für die Kartographie in den Messstäben 
von 1/1 000 000, von 1/250 000 und von 1/50 000. 
Die Methoden sind unterschiedlich : 
- Die Satellitenbilder zeigen deutlich die kontrastierten Linien. 
-Die auf Höhe gemachten Aufnahmen ermöglichen eine Definition der 
Landschaftseinheiten. 
- Die Luftbilder ermöglichen eine wahre Interpretation von jedem Punkt. 
INTRODUCTION 
Le pédologue utilise couramment les photographies aériennes, 
tant sur le terrain qu’au laboratoire. La méthodologie commence mainte 
nant à être bien connue (I, II). Mais avec l’arrivée de nouveaux docu 
ments comme les images satellites, ou les photographies-ballon, il se 
pose plusieurs questions. Ces derniers documents couvrent une surface 
plus grande que les photographies aériennes. Il y a donc moins de clichés 
à observer. Cela permet-il d’aller plus vite pour dresser des cartes 
pédologiques à petite échelle ? La qualité de l’information est-elle 
identique ? Ces documents présentent-ils moins d’information ? Peut-cn 
traiter et interpréter ces nouveaux documents de la même manière que les 
photographies aériennes ? 
Le pédologue se demande en fait avec quelle méthodologie il doit 
aborder !’interprétation des images satellites ou des photographies 
ballons. Cette étude sera abordée avec des exemples relevant de la pédo 
logie. 
LES TROIS TYPES DE DOCUMENTS 
Les images satellites 
L*interprétation , Les images satellites peuvent être traitées à 
l'aide d’ordinateurs, sous forme de classement de signaux reçus, ou avec 
des méthodes statistiques plus ou moins évoluées. Mais avant ces traite 
ments, on peut les observer sous forme de documents photographiques re- 
consitués. Cette première observation fait ressortir des lignes délimi 
tant des zones d’intensité de grisés très différents, mais ces zones ne 
constituent pas des surfaces fermées. Ces lignes indiquent des contrastes 
entre zones (III, IV). 
Les contrastes peuvent être exprimés par deux éléments : 
- la différence de densité (quantité de signal), 
- le nombre de canaux où le contraste apparaît.
	        
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