Les vols photogrammétriques a haute altitude 1*0
Les détails du sol apparaissant très petits, il convient de soigner par
ticulièrement la visibilité du pilote et de Y observateur et on remarquera,
à ce sujet, que rien ne vaut Y observation directe du terrain sous le plus
grand champ possible. Les lentilles divergentes et les lunettes d observa
tion actuellement existantes 11 e donnent jtas satisfaction. ¡Si 1 avion est
à ailes surbaissées, il faut pouvoir ménager dans le plancher, outre la
trappe photographique, de grandes haies vitrées (40 x 80) ('!).
ITnr. 3 — Le mote ni’ Renault <> cylindres, 250 CV, compresseur centrifuge.
Enfin, l’intérieur de la cabine (le travail en carlingue ouverte n’est pas
possible) sera réchauffé au moyen de dispositifs divers parmi lesquels on
préconise généralement l’arrivée d’un courant d’air chaud obtenu dans
un manchon entourant le tuyau d’échappement du moteur.
C. — La dépression atmosphérique.
Une question extrêmement importante et généralement très négligée
parce que ses conséquences ne sont pas immédiates, est celle qui a trait
à la façon dont se comporte l’organisme aux hautes altitudes. Nous venons
de voir qu’il était possible de lutter facilement contre les basses tempé-
di Nous avons pu constater cjue certains types d’avions modernes se prêtent à cet
aménagement.