du second appareil sera 32 fois plus grande. Il va donc sans dire qu'on
peut obtenir une ouverture beaucoup plus courte avec une focale de 35 cm.
qu’avec une de 70 cm. En effet si on considère plusieurs objectifs!, par
exemple avec l’ouverture 1 : 4,5, on remarque que pour la focale de 10 cm.
1 1
on obtient très facilement— = — 5 tandis que pour f = 30 cm. ou
n 25( )
u assez de peine pour obtenir — — —avec un bon rendement. On voit
n 100
donc que n est une fonction décroissante de f.
Dans l’exemple cité on a supposé que les deux ouvertures numéri
ques 1 : N des deux appareils sont égales. Mais puisque la plus petite focale
facilite la construction d’obturateur, on peut songer à diminuer le temps
de l’ouverture de l’obturateur. Profitons de ces facultés et cherchons à
diminuer JL deux fois. Cette diminution exige une ouverture numérique
n
non pas 1 : N mais 1 : N ± , où N 1 N j/ 2. L’énergie nécessaire pour mettre
cet obturateur en mouvement ne sera plus 32 fois plus petite, mais seule-
y/~52 = 4 V 7 2
mei 1 1
W ar
5,6. C’est encore considérable.
1 .
L’exemple cité plus haut montre qu’en pratique le temps—* minima de
l'ouverture de l’obturateur est une fonction croissante du diamètre utile d
de l’objectif. Soit
(* t)
= 6 (3)
cette fonction.
Soit 1 : N, l’ouverture de l’objectif e
, le temps d’ouverture de
l'obturateur. La quantité de lumière qui passe par l’objectif pour impres-
!Y*
sionner l’émulsion est proportionnelle à — Si on diminue la focale f pour
1 , A T 2
diminuer le temps — on doit garder la même valeur de — , ou
n n
N*
n
a étant constant; mais d’autre part
d = L
(4)