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Commission 2 
Taylor. Les recherches ont en conséquence porté sur l’étude d’un matériel 
simple et complet, ainsi que sur l’établissement d’une suite logique des 
opérations supprimant toute perte de temps et tout geste inutile, en con 
fiant le travail à une équipe d’ouvriers spécialisés fonctionnant en colla 
boration étroite. 
En premier lieu, l’identification doit être exécutée dans un local vaste 
et clair, chauffé en hiver, réfrigéré par ventilation en été et comportant 
l'éclairage électrique. Il est néanmoins évident qu’une organisation plus 
précaire suffirait encore, mais elle aurait l’inconvénient de nuire au ren 
dement. 
L’équipe d’identification travaille sur un meuble unique dénommé 
« Appareil d’identification » (fig. 1) qui affecte la forme générale d’une 
Figure 1. — Appareil d’idenlificalion 
fable à plateau incliné à environ 35° sur l’horizontale, table sur laquelle 
viennent s’adapter un pupitre à glissières destiné à supporter les plaques 
ou les films à étudier, et les éclaireurs. Les pieds de l’appareil d’identifi 
cation, au nombre de six, sont démontables pour en réduire l’encombre 
ment lors d’un transport ou d’un déménagement par camion. Une série 
d’accessoires d’étude et de dessin complète le meuble; les uns sont fixes, 
tels que le châssis d’inspection des négatifs, le porte-carte orientable, le 
bloc-note, les caissettes destinées à l’entrepôt des clichés sur verre et les 
cadres marqueurs; les autres, le gabarit calculateur, les normographes, 
le matériel de dessin et de gravure sont amovibles. 
L’éclairage des négatifs (plaques ou films) se fait par transparence à 
l’aide d’un éclaireur spécial à double usage permettant d’éclairer 
soit électriquement, soit par lumière solaire. L'éclairage électrique est 
obtenu à l’aide d’une lampe dépolie de forte intensité dont la lumière est