Full text: International cooperation and technology transfer

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3. Aspects administratifs 
D’habitude les technologies spatiales font partie de 
la régie de l’état. Cependant il est difficile pour un 
expert étranger de distinguer leur structure soit à 
l’échelle nationale soit à l’échelle régionale. Dans 
les pays en voie de développement la coopération 
entre les différentes institutions se révèle souvent 
très difficile. Des potentiels cachés de concurrence 
rendent une telle communication presque 
impossible. Généralement on remarque: 
• un manque de connaissances sur les ressources 
techniques existantes et leur possibilité 
d’utilisation, 
• les ressources personnelles sont mal exploitées, 
le choix d’un employé ne répond pas ni à sa 
qualification ni à ses connaissances, 
• fluctuation de personnel, le personnel formé est 
souvent affecté ailleurs dans l’administration. 
Pour changer cette situation et atteindre les 
objectifs souhaités, il est recommandé de transférer 
(partiellement) les institutions concernées au 
secteur privé et leur permettre de choisir librement 
le personnel en question. 
4. Aspects techniques 
Le matériel informatique, une fois bien maintenu, 
peut garantir un fonctionnement impeccable et 
durable. Cela concerne surtout la protection contre 
la poussière, l’alimentation en courant électrique, la 
climatisation etc. 
En plus, le choix du matériel informatique doit 
sciemment porter sur des marques bien établies 
pour des considérations de service après vente, 
d’une part, et pour éviter tout problème de 
compatibilité avec les logiciels de SIG et 
Télédétection de l’autre part. Ces logiciels doivent 
permettre l’entrée et la sortie de nombreux formats 
de données. Lors de la décision pour un système, 
l’achat, la disponibilité et le transport des pièces 
d’échangé doit déjà etre pris en compte. 
5. Acquisition des données spatiales 
Avant de créer la banque de données à référence 
spatiale, il faut d’abord se procurer les cartes 
topographiques, l’assemblage des cartes et les 
coordonnées géographiques de la coupure des 
feuilles. Une utilisation ultérieure de cette banque 
de données dépend de la qualité des informations. 
Généralement les cartes topographiques existantes 
sont d’une petite échelle, manquent d’informations 
de base ou sont dépassées (Nwosu, A. 1999). Si ces 
informations anciénnes sont intégrés sans reflexion 
critique sur leur validité, les nouvelles cartes en 
jolies couleurs ne seront pas de valeur plus grande 
que les anciénnes... 
L'unité SIG ne peut être opérationnelle que si le 
flux des données récentes et de provenances 
multiples est garantit. De plus, ces données doivent 
répondre aux besoins de l’utilisateur potentiel. 
Ceci rend nécessaire des nouvelles étappes de 
travail, à prendre en compte lors de la conception 
d’un SIG: 
• Intégration des résultats des études géodésiques 
terrestres avec des sondages d’auprès une 
groupe de personnes ou avec autres sources 
d’informations. 
• Les photographies aériennes sont une source de 
nombreuses informations riches en détails aussi 
bien qualitatifs que quantitatifs. L’accès à ces 
informations est en liaison étroite avec le 
savoir faire et les connaissances de l’opérateur. 
Les activités professionnelles, tel que la 
réalisation des cartes et ou le SIG à référence 
spatiale, doivent être assurées par des 
spécialistes comme par exemple des 
techniciens en photogrammètrie. Dans les 
années soixante et soixante-dix, de nombreuses 
personnes ont été formées en photogrammètrie. 
D’après des connaissances de l’auteur, ces 
personnes sont utilisées dans des domaines de 
SIG. Malheureusement, les technologies 
modernes et confortables de SIG ont mené à la 
négligence de la photogrammètrie. 
• L’utilisation de la télédétection satellitaire 
comme une base d’implementation d’un SIG, 
permet l’acquisition de données récentes et 
participe à l’actualisation des cartes 
topographiques. Cependant que les traitements 
numériques des images satellitaires donnent 
des résultats utiles, ils exigent un matériel 
technique sophistiqué et demandent des 
connaissances hautement spécialisées de la part 
des opérateurs. Les résultats ne sont pas à 
obtenir si vite. 
Une alternative raisonnable : Il s’est avéré 
aussi bon d’acheter des images prétraitées et 
geo-référenciées à l’étranger. Ces images 
seront après manipulées par les interprètes 
comme des photographies aériennes. En plus, 
il n’est plus nécessaire de les redresser sur une 
projection cartographique. Après 
l’interprétation thématique les informations 
peuvent être numérisées directement sur 
l’image et intégrées dans le SIG. (Heymann J. 
et al. 1997)
	        
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