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CHAPITRE III. — ICONOMÉTRIE ET MÉTROPHOTOGRAPHIE. 27
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Ajoutons que l’on peut avoir besoin d’incliner les appareils;
c’est ce que l’on fait notamment presque toujours en ballon, et
alors encore les règles de la perspective plane s’appliquent
aisément et efficacement.
Nous ne dirons que quelques mots de la chambre sphérique
projetée par Porro, dont il n’a donné qu’une idée très vague
et qui n’a pas été réalisée. L’inventeur croyait, ou plutôt sup
posait que les déformations dues aux objectifs ne permet
taient même pas d’atteindre une amplitude de io° sur les
tableaux plans, ce qui eût obligé de porter à 36 au moins
(il parlait même de 5o!) le nombre des épreuves nécessaires
pour faire le tour de l’horizon. Il s’est également inquiété des
déformations dans le sens vertical, et c’est ce qui l’avait con
duit à adopter la forme sphérique. Comme avec les chambres
cylindriques, il comptait effectuer le tour de l’horizon en trois
poses et, sans être jamais entré dans d’autres détails, il pré
tendait qu’il relèverait tous les angles dont il aurait besoin
sur ses clichés, non développables, bien entendu, au moyen
d’un petit théodolite spécial (di taeolino), ajoutant qu’il opé
rerait ainsi dans le cabinet, comme il l’aurait fait sur le ter
rain, mais bien plus à son aise, avec une grande exactitude et
une rapidité singulière. Tout cela, il faut en convenir, ressem
blait à un rêve qui, nous le répétons, n’a jamais été réalisé et
peut être considéré comme irréalisable.
II est certain, dans tous les cas, que le Mémoire de Porro,
qui date de i863, est resté à l’état de lettre morte, aussi bien
dans son pays qu’ailleurs. Il est bien probable, au surplus,
que, s’il eût vécu un peu plus longtemps, il se serait vu obligé
de revenir de ses préjugés, en présence des progrès accomplis
dans la construction des objectifs aplanétiqaes et rectili-
néaires et qu’il aurait reconnu les avantages des images planes.
IX. — Appareils et méthodes essayés ou proposés
(Suite).
Panoramas rayonnants. — L’appareil du I) 1 Chevallier était
tout à fait différent de ceux qui viennent d’être mentionnés