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LES INTÉGRA PII ES.
On connaît alors la vitesse
<*> *=af=/<o,
et l’accélération
(3) H, =a?=/'(0.
Cette dernière équation nous donne immédiatement l’effort
appliqué P :
Quand le phénomène observé est donné par la représentation
graphique de l’équation ( i ), il faut différentier graphiquement
pour obtenir les courbes des vitesses et des efforts. Dans ce cas
l’intégraphe ne peut être appliqué que pour le contrôle des courbes
différentielles, en faisant l’opération inverse. Cela peut être d’une
certaine utilité, parce que la différentiation graphique ne donne
des résultats exacts que dans des cas tout à fait spéciaux, et qu’on
peut facilement commettre de très grandes erreurs.