MÉMOIRE SUR UNE PROPRIETE GÉNÉRALE etc.
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1S
!)•
ni (175),
quations
nombre
‘onctions
5 sa va-
(188)
OÙ
2 0 Lorsque f> x = x — ¡3,
— 0) m tpx -)- Sn m ipz — C — JÎ / 1 ' '’ -|- •—j Jr J
r 1 r s m (x). (x—fi) 1 s m (f)
(' fx. dx
3° Lorsque f 2 x=l.
Alors on aura la formule
(189)
2oj m ipx -|- 2n m yz = G— //
/Xj^CfX
Sm (a’)
Si le degré de la fonction es ^ llic q n q re q Ue —! 1 alors fl'
S-m (JC)
fx. (f'X
s m (x)
s évanouira, et on aura
(190) 2(0 m xfjx -f i/jz = C.
D’après la valeur de cpx, il est clair que le degré de la fonction
'X' 1 ou le nombre hGGlfff. es t toujours un nombre entier: or cpx est du
s m (x) s m {x) •'
degré zéro en général, et ne peut pas être d’un degré plus élevé, donc
ne peut pas surpasser le plus grand nombre entier contenu dans
c’est-à-dire que, d’après la notation adoptée, on aura en général
fx. cpx
^ rn G' )
fx
Sm (G)
, fx. cpx
Eh
fx
s m (G)
E(hfx) -f- E[~hs n (x)i ^ hfx 4- E[—hs m (x)].
Si donc
(191) hfx < — E[—hs m (x)] — 2,
le nombre h---'^- sera toujours moindre que —1, et par conséquent la
Sm [X J
formule (190) aura lieu.
La détermination de la fonction cpx, qui dépend de celle des quantités
a, a', a 1 ’, etc., est en général assez longue; mais il y a un cas dans lequel
on peut déterminer cette fonction d’une manière assez simple; c’est celui où
l’on suppose
(192) 6\x, 0) = v t R (t) -f R (t G
En effet, en faisant
(193)
■R(*0
v t — Ox, — Opx,