RECHERCHES SUR LES FONCTIONS ELLIPTIQUES.
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ou, en faisant a = T
2 mco , -,
Û+T et m = “ 1 ’
/ 2n — 1 (o
/ ù U I (ü \ . / ^
< J
/2«—3 «j
2 n -}- 1 2
/ 2 n — 1 «
1 niii+ï
Maintenant on a
¿C Cf
2 n — 3 co
2 n 1 2
+ •>-• (—1)”9>
2 n -j- 1 2
2 m -j- 1 2
—|— «r
. . . I m co
x — (—l) n smO, et (p\ 2n +l ¥
sin 0'”\
donc en substituant:
v\
Sinip | /1 ( l) w sin0 sill fl' sin0 siïl0 /,/ + sin0 sill0^ n l)«sin0
in il) V l + (—l)"sin0 sin0'-|-sin0 sin0"'— sin0 sin 6V n -V — (—l) M sind ’
1 -(- sin ip
et de là
tang (45° — \xp)
tang\(0' 0) tang|(0 /// +0) tangf[0^"-^ + (—1-)”0] [450_/ ]\«i 5»]
tang j (0' -f 0) tang 4 (0" ' _ 0) tang | [0i 2w_ t) — (— 1) ” 0] ® L > 2 1
C’est précisément la formule de M. Jacobi.
Dans la formule (1), on peut toujours supposer le second membre po
sitif. En effet, en différentiant, on aura
7 V1—A 2 sin 2 rp ln
± a dtp = ■■ = • de.
y 1 — /c 2 sin 2 0
En supposant 0 toujours croissant, le second membre sera toujours positif.
Donc en déterminant la valeur 1p de sorte qu’elle soit croissante et décrois
sante en même temps que 0, on doit prendre le signe supérieur. O11 a
donc
dd C dif.)
LL
ou bien
f 0 Vl—Æ 2 sin 2 0 ‘ J 0 Vl Psill 2 ^
F(k,0)= t aF(l,xp).
E11 remarquant que ip doit être croissant et décroissant en même temps
que 0, et en ayant égard à la formule (2), on tirera aisément la consé
quence que xp doit tomber entre n et —i—yr, si 0 tombe entre 0 (m)
et e (m+1) .
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