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MÉMOIRE SUR UNE CLASSE PARTICULIERE D’ÉQUATIONS etc.
i fl = \ (6'^x -j- éC +1 æ -|- • • • *-[- 6 n ~ l x -J- X -)- 6x -j- • • • —J— ü 1 x)
(8 s x-\- 0 e+1 x -)- • • • -)- 0 n_1 a;-]-ce-|- 0x-\- • • • -||-0 É_1 £c),
donc
= a; —J— 0x-\- Ô 2 x-\- • • • ^
c’est-à-dire que f, est égal à la somme des racines; par suite, en vertu de
l’équation (73),
t — î
V — ¥ •
Dans le cas où n = 0, la valeur de t fl deviendra:
t 0 — \ (cos 2 u —j— cos 2 ma -j- • ■ • -j- cos 2 m” -1 a) -(- J-?? ;
or cos 2 a est une racine de l’équation (73), donc en faisant
’ cos 2 a = 6 s x 1
on aura \
cos 2 a -j- cos 2 ma -J- • • • -j- cos 2 m M_1 a
= 6 8 X—[- 0 l)+1 X-^~ • • • -|- 6 n ~ X X-\-X-\- Qx-\~ • • • —J— 1 £C = — -J-,
par conséquent
*o==£rc — J,
En vertu de ces valeurs de / 0 et Ç, la valeur de + p deviendra :
±9 —y 77 — t — -J-( a 4“ a2 “h f/,J ~h ' * ’ “h“” -1 )»
mais a -}- a 2 -j- a 3 -]- • • • -j- a”“ 1 = — 1, donc
± = i w + i.,
et puisque p est essentiellement positif,
2n-\- 1
«= —— '
Cette valeur de p donne
donc la racine carrée qu’il faut extraire est celle du nombre 2 n -j- 1, comme
le dit M. Gauss*).
Christiania, le 29 mars 1828.
*) Dans le cas où n est un nombre impair, on peut même se dispenser de Pex-
traction de cette racine carrée.