Tome second.
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1. Si m > n -f- 2, N est du degré 2m, et M du degré m -f- n + 3, donc
— est tout au plus du degré 0, donc la seule partie entière qui peut y être
contenue, est une quantité constante.
2. Si m < n -f- 2? N est du degré 2n -j- 4, et M du degré n -j- m -(- 3,
M
donc — est tout au plus du degré 0, et par conséquent sa partie entière une
constante.
3. Si m — n -f- 2, N peut être d’un degré quelconque moindre que 2m.
Soit donc N du degré /li, on voit que M est tout au plus du degré fi-\-m—1—ri
y/
= //-}-1, si non jn=2n-■]— 4; car alors M est du degré fi et ~ du degré 0.
M
Donc dans ce cas, est tout au plus du degré 1, et sa partie entière de la
forme Bx -f- B\
M
De ce qui précède il suit que - - est toujours de la forme
£.==Bx+ J B'+^_
N x-a
C
C"
x-
x-a x-a"
-a, x—a', x - a", ... n’étant point des facteurs de R.
+ ...
jç- est absolument irréductible dans tous
les cas; elle constitue donc une fonction transcendante particulière. D’après
la valeur de 4^ il est aisé de conclure que a la même forme.
N 1 dx
Soit donc
dT>
\ x-a x-a x-a" x-a^ '
dx
d’où
V = k Jvïï + k 'J^ X R + L -fl^7R + • ' '+ m J-,
dx
dx
\/ R J VR J {x-a)y/R ' 1 “ V (x-a^)\/R
Voilà donc la relation la plus générale qu’on puisse trouver entre les in
tégrales proposées.
23. Pour appliquer l’équation précédente, je vais résoudre les cinq pro
blèmes suivants:
1. Exprimer les deux intégrales et J p ar i e plus petit
nombre possible d’intégrales de la forme j-
dx
(jr-a)y/ R