ôU-\- A (zià s — du) /.'ôv' -f- etc. donc Ôv = d(zis — u)
et = /■'(.*)+ /.(^-)+etc. = 0, <p(Js)=f'(J S ) + K(-^)+ete.=X
car on peut considérer s comme une nouvelle variable. L’équatiou (A) devient
donc par rapport à s
ff(s) — Jcp(zi(s — Js))=.0, c’est-à-dire z/A=0, donc A est une constante.
L’équation aux limites ne change pas, car ds'— âs"=0.
Par rapport aux autres variables on obtiendra
(p(x)=f'(x) — a ) -f- etc. en faisant A — a\
et de meme pour les autres variables.
Or on obtiendrait les memes valeurs en mettant U—au au lieu de U.
On tire de là la regle suivante:
Lorsque l’intégrale d’une fonction U entre des limites données doit être
un maximum ou un minimum, et l’intégrale d’une autre fonction u entre les mê
mes limites doit avoir une valeur donnée, on n’a qu’à chercher le maximum
ou le minimum de l’intégrale U—au, où a est une quantité constante.
On voit de la même manière que si l’on a plusieurs fonctions u, u', u'\
etc. dont les intégrales ont des valeurs déterminées, il faut seulement cher
cher le maximum ou le minimum de l’intégrale U—au — a'u } — a*u"—etc. où
a, a', a" etc. sont des quantités constantes.