Le numérateur + 2(pdq — qdp) est une fonction entière de x; en la désignant
par y(x) et faisant on aura,
±*Hg
Soit pour abréger (pü m z=x m , l’équation précédente donnera:
— 1 X^) — xk) — ^ X(^)
Donc
±¿6, + ^ + ... + % = ^-+ +
Maintenant le degré de la fonction entière y(x) est nécessairement moin
dre que celui de A(#); donc, d’après un théorème connu, le second nombre de
l’équation précédente s’évanouira. On aura par conséquent:
-j- d§ 1 -{- dQ z -J- </0 3 + .. .4- dÿ^ = 0.
De là on tire en intégrant:
i Hh i 9 S Jh • • • + Qu — const.
et par suite:
q(4~ + ^2 i i • • • i V) ==: ^
c. q. f. d.
Le signe des quantités 6 , ô 2 ... n’est pas arbitraire. Il est le même que
celui de l’équation,
p = + q.fb.Fb.