où a' — et /5'
dx
<x+ $y x + $y
• Eu multipliant par a -f- fiy on aura
au' — a§p -f- (a§’ — 2aq)y — {afq + 2fq)y‘ i = 0,
et par là
aa' — afp — 0, afi' — 2aq = 0, afq -|- 2fq = 0.
La dernière équation donne « = — 2, et en substituant cette valeur dans les
deux autres équations, on obtiendra
a' — fip = 0, fi' -J- aq = 0.
Si de ces deux équations on tirait a et § en p et q, on parviendrait, à une
a'
équation différentielle du second ordre; mais on trouve p = —-- et q
¡3'
si donc ces deux conditions ont lieu, on a r — — 2 log(« -j- Py)> P ar su * te
( ~ ( a + $y) 2 *
11 suit de là que l’équation différentielle
th J + (-^— ^■y*) ix= °
peut être intégrée, et que le facteur qui la rend intégrable, est
(a + &)*
L’intégrale sera donc
c’est-à-dire
f
dy
(a + $yY
fx —
-j- fx = 0,
0.
P(a + №)
Pour trouver fx, il faut différentiel*, ce qui donnera
* -
(a + ^) 2
0,
mais
donc
dy = - •y’*) .dx-
a(i
p x a'^ + aft' 4- 2fô'y aа. , — ftft'ff 2 __ ^
^‘ 2 (a + $y) 2
d’où en réduisant
a^(a + $y)*
f'x = — ^
a (J 5
et
fx = — . dx.
' J o$ 2
L’intégrale de l’équation
dy + (x — \y‘ i ) dx = °