440
<Pi
4>.r
¡1
X
) s 2
(t)
1 1
( çl
(f)
) P
(l + eix).—
en remarquant qu’en vertu de (250) on a —m')a^
et que op (^) = Donc
\ 2 y et
s 2
1 + e x iy=. (1 -j- eix). —,
et en changeant le signe de i
>s 2
1 + e L *# = (1 «M?) *
Pag. 236. Les équations (258) et et 245) donnent
R = (i — f!-),.'
^ <p,s/ • ^ ÇjS V Ç 2 a/V <p 2 2a / V 9 2 wa/
donc en remarquant que p est seulement du degré 2n, on voit que le coeffi
cient de x 2n+1 dans cette expression de R est
—O- 1 )" g
9 x s (9a.ç2a ...cpwa) 2
9i (y) et <Pi(^-) == ± en vertu de ( 247 ) et ( 2 ^)*
Pag. 239. L’équation (275) se tire de (272) et (268).
Pag. 240. L’auteur dit que ]/ ) est positif par ce que tt x est réel,
mais il me semble que tt x pourrait être réel quand même la quantité j/)
serait négative, car en vertu de (249) on a ^ = + (1 VÜ3)-raison
pourquoi "j/(y—x) est toujours positif c’est que y est égal à zéro en même
temps que x, que J/^(l—x 2 ) et |/(1—y 2 ) sont tous deux positifs lorsque x
et y sont très petits, et enfin que y devient égal à l’unité en même temps que
x. En effet l’équation (271) donne pour x = 1
■ [** (¿ï) - : •] [** (stî) - »] • • • [*• ( 2STr) - x ]
/.
y = (— i) n -
Or 1 — q 2 « —
t 1 + <p2 (ï^ï)][ l + (¿rr)] • •■ ■■ b +e ’(¿fr)]
f*a et 1 -f- = F*a, donc