En traitant cette équation entièrement de la même manière que l’équation
(£) ci-dessus, on trouvera
= i = nn. ± (1=^. *=£ • • )\
1
où k = q 2M+1 . ÔV-.
Pag. 517. Le théorème portant le numéro XVIII est démontré dans le
mémoire XXI.
Pag. 521. Pour qp9 infini on a (p(2n -}- 1)9 = Bcp9, où B est une con
stante; car le numérateur de la fraction rationnelle en cp9 qui exprime la valeur
de la fonction (p{2n +1)9 est d’un degré d’une unité plus élevé que le déno
minateur.
Pag. 522. On a
^0 = 27 ro 27 rc(9 + ma + gp),
O O ^
2n 2n
y(Q + a) = tt(9 + {m + l)a + gp}.
O O ^
Le second membre de la première équation contient le terme n(9 + gp) qui
répond à m = O et qui ne se trouve pas dans le second membre de la derni
ère équation. Celui-ci au contraire contient le terme îr(9 + {2n + i)a + gP}
répondant à m — 2n, et qui ne se trouve pas dans la première équation. Ces
deux termes étant égaux, et tous les autres termes communs aux deux équa
tions, il est clair que ip9 = i/;(9 + a).
L’équation (1) \p(2n-{-l)b—B, peut se mettre sous la forme (voyez p. 187)
(Ax^y + ... + Bx) — cp(2n+l)0. {Cx^y- 1 + ... + />) == O,
On voit par là que le coefficient de toute puissance impair de x est indépen
dant de 9, et que le coefficient de toute puissance paire de x contient le fac
teur (p(2n-j-1)9. Donc la somme de toutes les racines est de la forme C.(p(2n-\~ 1)9,
où C est constant; la somme de tous les produits de deux racines est indépen
dante de 9 etc., d’où il est clair que dans l’équation (16) A= O si le nombre
des facteurs de ^9 est impair, et B = O si ce nombre est pair.
Pag. 529. Les expressions de ;,(9©) sont les mêmes que les expres
sions (24) et (33) pag. 303 et 304, en remarquant que = dans ces
Mi m
dernières formules signifie la même chose que b ~ ici, et que-J- = &.~ dans
2 2 2
59 *