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Dbx= 2m, si m > n -j- 2,
et U 8# = 2/i + 4, si m < n + 2.
On ne peut pas avoir m = n -\- 2 en remarquant que des nombres m et n l’un
doit être pair et l’autre impair.
Soit d’abord
donc
donc
c’est-à-dire
Soit ensuite
donc
donc
c’est-à-dire
m> n-¡-2,
2m>m -¡-n-\-2,
2m = ou > m -f- n 3,
Dtyx = ou>
7i —j— 2 > m,
2n -f- 4 > m -f- n-\- 2,
2n -f- 4 — ou>?w-(-w+3,
Z?0^=ou>
• : n ■;
Pag. 566. Lorsque m — 2, l’équation (109) devient
— (cpx) 2 (i — x 2 ){\.— c 2 x 2 ) = (x 2 — a 2 ) 2 .
En faisant fx = «#, q>.r = b, on aura
— b 2 c 2 x‘ 4 -}- (¿r(l -J-c 2 )-}-« 2 )# 2 — = x 4 —2a 2 x 2 -j- a 4
donc
b 2 c 2 — — 1, ¿> 2 (l -}-c 2 ) -|- a 2 = — 2a 2 , b 2 = — a 4 ,
6 = + - Y— 1, = + -, a- = (l + i-Y.
C c \ c /
Donc
et
2m Aa
4(^ïf ,0rS, l Ue a2 = l>
a — \/—1 i 2 1
2^r = T(?Mr lors 1 ue “ =- r-
Pag. 567. On a en général (r 2 — s 2 )(t 2 —u 2 ) = (rt~\-sa) 2 — (sf+rti) 2 .
En faisant x = l oux=— dans l’équation (108), la partie logarithmique dis
paraît. On voit par là que /? ne peut pas être zéro; car cela donnerait
dx
U—
0 V a 2 /
ce qui n’a pas lieu.
0 et f c
J 0 0 --^-)
= 0,
Ax