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travail laborieux, et il m’a fait trouver quelques intégrales oubliées dans la rédaction. En
outre, depuis que le manuscrit avait été rédigé, j’avais encore rencontré quelques formules. Par
suite j’ai cru devoir donner les unes et les autres dans une Addition, afin de mettre cet ouvrage,
autant que possible, à la hauteur de l’époque actuelle. Pour que ces intégrales puissent entrer dans
le corps de l’ouvrage, elles sont imprimées de manière à pouvoir être découpées et attachées auprès
de la Table à laquelle elles appartiennent; par la même raison, le numéro d’ordre de la Table est
continué pour ces formules supplémentaires.
Mais quant au but propre de cette révision, la recherche des fautes qui pouvaient s’être in
troduites dans cet ouvrage, elle ne m’a donné que trop de sujet de me féliciter de l’avoir entre
prise. La liste des corrections peut en témoigner; j’y ai aussi noté les renvois fautifs. Oserais-je
invoquer l’indulgence des savants en citant ici l’opinion bienveillante d’un éminent mathématicien
anglais (A. d. M) [à l’occasion de mes Tables d’intégrales Définies, dans The Athenaeum,
N. 1607, Aug. 14, 1858]. ,/We must tell our general reader, that among other things which
he does not know, ail books of algebra will hâve misprints; the absence of a table of errata
does not show that they are not there, but only that they hâve not been found out.”
Quant à l’éditeur, il s’est donné toute peine possible pour faire réussir ces Tables. Muni
d’un tout nouveau système de types, l’atelier typographique de M. Drabbe s’est fait un point
d’honneur de satisfaire aux soins qu’exige un tel ouvrage, où la rigueur est de première nécessité,
sans toutefois que l’élégance doive en être exclue.
Je viens de donner une esquisse biographique des Nouvelles Tables. Puissent-elles trouver un
accueil aussi bienveillant que leur soeur aînée.
D. B. d. H.