LE CALCUL COMBINATOIRE
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nous occupons? Nous avons d'abord 5 cas favorables pour lesquels
le chiffre 6 est donné par le dé A, le dé B marquant un autre chiffre
(i, 2, 3, 4 ou 5) — de même, 5 cas favorables, pour lesquels
le chiffre 6 est donné par le dé B, le dé A marquant un autre chiffre
—- enfin un dernier cas favorable est le cas où nous amenons le
double 6. Le nombre total des cas favorables est donc 5 -t— 5 —h- i
ou ii. J’en conclus que la probabilité cherchée est ^ •
Ce seul exemple suffit à faire pressentir la connexion qu’il y a
entre le calcul combinatoire et la théorie des probabilités. Le lecteur
qui désirerait poursuivre l’étude de cette théorie pourra consulter
l’excellent ouvrage de M. E. Bord : Eléments .de In théorie des pro
babilités (2 e éd. 1910).