3o4
LE CALCUL ALGÉBRIQUE
D’ailleurs l’identité (I) j^où je remplace a par x et b par — j me
donne :
b 2 2 b
X -f 2 = x ¿ +- 2 X
a a i 2 a
b
‘2 a
x 2 -h
bx b 2
a t\a ¿
d’où je conclus que
al x 2 -+-
b c
~x -h~
a a
V 1
r / b \
2 b 2
C ~|
M
Lr +
) t: 4 a ¿
Réduisant les deux dernières fractions au même dénominateur,
j’écris finalement l’identité
b \ 2 b 2 — 4 acl
w~ï
ax 2 H- bx -t- c
= 0 [( :
Le trinôme du second degré peut être mis sous une autre forme
encore si le nombre b 2 — 4ac est positif. Considérons, en effet,
dans celte hypothèse, la racine carrée de 6 2 — 4 «C, que nous dé
signerons par </. L’expression entre crochets, dans le second nombre
de (XYI1), est la différence du carré (') de (x + et du
carré de — . J’en conclus, d'après fidenlilé (VIII), que celle diffé
rence est identique au produit x +■ — —]( x ' ^
2 a 2 a;
2 (I ‘2 a
( . 6 -
- fb 2 -
4«c \ /
\
2 a
) V
b "h fb 2 — 4 CLi
2 a
identité dans laquelle le radical représente la racine carrée positive
de b 2 .i\ac (voir n° 136)
Ces diverses identités furent formulées à l’occasion de la
théorie des équations polynomales dont nous parlerons plus loin
(S 6 )•
( ; ) Le carré d’une fraction -- ( st, comme on sait, le rapport du carré
du numérateur b au carré du dénominateur (so) [voir n° 36 j.