d’autres , et nous avons
INTERPOLATIONS.
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y = — O , 7 I 46 I . X — O , 000202 . X 2 .
D’ailleurs nous pouvons vérifier les deux observations intermé
diaires dont nous n’avons point fait usage : ainsi
x =— 5,6 donne y = 3,99 au lieu de 4,
et
x =—25 donne / = 17,639 au lieu de 18.
Cherchons ce qui aura lieu en 1900 : pour cette année,
X = 4 5 6
puisqu’il se sera écoulé un siècle depuis 1800, nous trouvons
alors
ou simplement
j = 3",3.
78. Cherchons maintenant, par un développement d’une na
ture un peu différente, la variation du rayon de la terre suivant
les diverses latitudes.
Soit R le rayon équatorial qui est maximum, comme on le sait,
et soit r le rayon de la terre à une latitude quelconque \, je dis
que l’on peut, pour une première approximation , poser
formule empirique déterminée d’après l’aplatissement connu de la
terre, qui est égal à au pôle, pour lequel \ = 90° : on prend
le carré du sinus, parce que cet aplatissement est le même pour
dz 90°, puisque la terre est une surface de révolution.
Mais cette formule serait insuffisante, et il faut ajouter au coef
ficient de R (ou en retrancher, s’il y a lieu) une quantité dépen
dant d’une observation faite, pour plus de sûreté, à égale distance
entre o et 90 degrés, c’est-à-dire à 45 degrés. Je dis que nous
pourrons tenir compte de l’observation faite en ce point, si nous