CALCUL DE LEURS DÉRIVÉES PARTIELLE!. II( j
de y seuls, et ont pour dérivées partielles, d’une part, /• et s par rap
port à x, d’autre part, s et t par rapport à /, il viendra successive
ment
d c F
_ dF
dF
d c F
dF
dF
dx
dx
h
~dÿ
~ dÿ
d* F
/ d
d \
i dF
dF '
~dx %
\ dx
+ P Tz)
1 dx
dz P j
) •
_ dyF f d* F 2 rfF d F
dx'- ip dx dz P dz 2 ' dz ’ '
(9)
¿/ 2 F
cfr dy
b-f
di_
\ d }‘
d
dx
d* F
5a? ¿/p
’¿F
¿/.r
’rfF
\ dy
d* F
/ rf ¿/ \ / r/F dF \
dF
dz
dF
+ *dk
r/2 F
do? r/i
du dz
-M
r/2 F
r/a 2
r/F
d}. F
/ d
d \
/d F
dF\
dy 2
= \dy^ q
dz /
V dy
"2 s)
r/ 2 F
r// 2
2 <7
r/ 2 F
r// r/a
-H-ÿ 2
r/2 F
r/a 2
r/F
r/a i;
Dans ces développements, le dernier terme, celui qui contiendra la dé
rivée de z la plus élevée, aura toujours été déduit du terme p ou
~ q de l’une des deux dérivées premières, en j différentiant chaque
. . r/F
fois le second facteur p ou q, et non le premier —■ ; en sorte que,
d’une part, cette dérivée partielle la plus élevée de z figurant dans
l’équation s’y trouvera au premier degré, et que, d’autre part, elle
aura pour coefficient C ~ • Elle indiquera, d’ailleurs, autant de diffé
rentiations de s, en x ou en y, qu’on en aura effectué sur la fonction
même F.
Cela posé, admettons que z doive varier, avec x et y, de telle ma
nière, que la fonction F se maintienne constante. Autrement dit,
supposons que z soit la fonction implicite de x et de y définie par
l’équation F(x,y,z) = c. Toutes les dérivées complètes de F par
rapport à x ou par rapport à y seront milles : et l’on aura, pour dé
terminer p et q, les deux équations du premier degré obtenues en
annulant les derniers membres des deux premières formules (g), où