SA DEMONSTRATION DANS LES DIFFÉRENTS CAS. i35
fi° ~+~ h) ? ou —1, i e quotient équivalent de la fonction ~—, nulle
cp(a -+- A) <p(a?) . cf(a?)
pour x — a, par la fonction également nulle à la même limite.
Ces deux fonctions continues s’approchent évidemment de zéro et va
rient toujours dans un même sens, quand les valeurs absolues de f{x)
et cp(¿r) grandissent ou que x — a-\-h tend vers a. Le rapport de
leurs accroissements simultanés
et
< j • • • . fi a ■+• h )
réduit ainsi a ~ -f-
cf ( a -+- h )
rapport de leurs dérivées
d I
<P (a-h h) cp(a) /(a + A) /(a)'
> égalera, d’après le théorème de Cauchy, le
cp'O) cl I _ f'i x )
clx Cf (a?)
c’est-à-dire la fraction
'f(^) 2
?'0)
cl I
dx f{x)
A x f
f'(x) L<p(a?)
/0)1 2
pour une certaine valeur intermédiaire a
donc
f{ a -f- h ) _ cp'( a
OA)
cf (a -h A) /'(a
ou, sous forme de proportion,
f\a -i- 6 h)
O 5 )
h de la variable. On aura
/( a -t- 6 h )
6h) |_cf (a -+- 6 A)_
/0 + 6/0
cf'O + 0A) _ cf (a 6 A)
/( a -+- 6 A )
cf (a + 0h)
f{a -+- h)
cf (a -+- h)
Or admettons que chacun des deux rapports ——, ~^ ! 1 tende vers
1 1 A Cf(ip) Cf (a?)
une limite quand ¿c approche de a, et que, pour c cette limite
soit, ou finie et différente de zéro, ou nulle, ou infinie.
Dans le premier cas, la relation (i5) devient évidemment, pour
h = o,
lim
lim
/O)
lim /{ f
cp'O)
<pO)
/O)'
lim fiX)
cf (a?)
<fO)
lim
fi*)
cf'O)
lim
f(x) _
<pO) ’
ce qu’il fallait démontrer.
Dans le second cas, 0 h étant plus voisin de zéro que n’est A, le se-