desquelles il
Lorsque \x y
appelant £ la
loin.
de leurs com-
iduit, quotient.
-, qui prouvent
étions élémen-
, et dans leurs
érence, comme
ine variable x,
accroissement
accroissements
i divisant, par
nsuite \x vers
ifférence est la
entrant dans
nt, c’est-à-dire
et, par consé-
se réduisait à
r A.x, vaudrait
certain nombre
arme au, ayant
-J— u' -4— .. . est
nombre entier
ime cas limite,
¿finition même
ivée se trouve-
produit d'un
ait du facteur
DÉRIVÉES D’UN PRODUIT ET D’üN QUOTIENT. 87
viables tous les deux. Si l’on fait croître x de \.x, u croît de Au, v de
Au, y de A.y, et l’on a,
Ay — (u -1- A u)(v -i-Au)— uv = u A u -+- u Au -+- A u Au;
d’où, en divisant par Ax,
A y A u Au A u .
Tx =< ’ H + +
Enfin, faisons tendre \x vers zéro, et passons à la limite en obser
vant que ~ Au y devient «'Au ou zéro. Nous aurons simplement
y 1 = u«' H- uv' et, en divisant par y = uv,
y _ 4_ t.
y U 1 u *
Ainsi, la dérivée d’un produit divisée par ce produit est la somme
des dérivées de ses facteurs divisées de même par ces facteurs res
pectifs. Or il est clair qu’une pareille loi est générale ou s’étend au
cas d’un nombre quelconque de facteurs; car, si l’on décompose l’un
des deux considérés d’abord, u par exemple, en deux nouveaux fac-
\ r • V 1
leurs nu, nu,, la môme démonstration permettra de remplacer - par
— -4- — : et ainsi de suite quand on opérera de nouveaux dédouble-
W Wi
ments d’un facteur en deux autres.
Donc, en général, si y — uvw.. ., on aura
En multipliant les deux membres par y — uvw..., on verra que la dé
rivée d’un produit est la somme des produits qu’on obtient en mul
tipliant la dérivée de chaque facteur par le produit de tous les
autres.
Si la fonction donnée y est le quotient, y =z ”, de deux fonctions u
et u de x, u sera le produit de u par y et la formule (i) donnera
ou bien, en transposant et multipliant finalement par y = - ,
cleurs u, v va
is)
u-