Nature les feuls Corps peut-être qui y
Joy eut. Prendra-t-on maintenant un tel
Théorème pour un Principe univerfel ?
Les pim habiles Mathématiciens ¡‘ont
tombés dans des embarras dont ils nont
pu for tir , lorsqtiils ont voulu appliquer
aux Phénomènes de la Dioptrique le Prin
cipe de la pim grande fimplicité des moy
ens, On pourra en voir Phifoire dans
un mémoire que je lus autrefois a l'Acade
mie R le ‘ des Sciences de France * , ou pim
au long dans un Mémoire de M, de
Mayran, **
Voila tout ce que f'avais a dire.
Si dans les Critiques qui ont paru , ou
qui paroi iront, on trouve (quelques ex-
prejfons peu mejurées , qui joyent échap
pées a un Zèle Juperfitieux ou a un ejjrrit
de parti, elles ne méritent pas que fyfajfe
attention.
* Ce Mémoire a été inféré à la fin de cet Ouvrage.
** Ment, de L'Acad, RU. des Sciences. Année 172$.
pag. j 70.