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PREMIÈRE PARTIE.
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directement : reprenons, en effet, les trois égalités
[B]
[C]
W
f -j- (4 ac — 4 2 ) = P. 2,
2oX = P(N-|-1) — t — 6,
Z = P(N + 1) 2 — 2<N +1) +z.
Les lettres, 1° t et z, relatives à [B], 2° X, N, relatives à [C], représentent
un système-solution; par conséquent, les égalités
, _f 2 -K4gc — b 2 ) ISf | j — 2aX + 1 + b ?
démontrent que les nombres f -J- 4ac — 4 2 , 2aX -\-t-\- b sont respectivement
des multiples de P; substituant les nombres z et N-]-1 dans Légalité [K], on a
rj /2ciX. -(- t -)- ¿»\ 2 2aX —|— ^ |j t 1 -f- (Aac — é 2 ) #
p 7 V P
p
chacune des trois parties du second membre est un nombre entier; la somme
présente ce même état, et est, après réductions, le second membre de Légalité
Le nombre P, premier absolu, est premier à 4a; par suite, le nombre z est
multiple de 4a; par conséquent, les deux recherches précitées se réduisent à
une seule, laquelle est toujours possible, le nombre P est premier absolu,
cette recherche appartient à l’analyse indéterminée du premier degré à deux
inconnues. Concluons : Si on connaît un système-solution de l’équation [B],
ce système amène l’équation [C] ; le système-solution X, N de cette dernière
équation, donne, après substitution de N dans Légalité [K], un nombre entier Z
multiple de 4a, et, finalement, on obtient les nombres entiers X, — =Y,
4 n
qui constituent une solution de l’équation proposée.
49. Nous avons, dans la note du n° 50, pris l’engagement d’examiner les
limites que l’on peut assigner à y dans les équations dont la forme est
x 1 -\-qx-\-r = V.y, le nombre q impair, c’est-à-dire d’étudier quelques faits
analogues à ceux que présente, n° 41 et suivants, l’équation .r 2 + /’ = P . y ; cet