DEUXIEME PARTIE.
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On peut, avec ces six équations, former trois groupes; le premier présentant
la première, la deuxième, la quatrième égalité; le second présentant la
deuxième, la troisième, la cinquième; le Troisième, présentant la quatrième,
la cinquième, la sixième, et si on multiplie chacun de ces groupes respective
ment par g , h, k, on a
[ £( a oTi—'To a i) 2 ^ 2 = é't>i) 2 h%
[i ] | 4(v/, — To a i) («A —- A«i + PoTi — ToPi>>* 2 — ,
v %Ti — To a i) (PA — ~ ka x c x Vf,
( é J ( a oTi — To a i)( a <A — Vi + (Vh — YoPi)"** = 2« 1 %U%
[2] j ^(«A—V-1 + PoTi — = 4(A)W,
f Æ(aA — Vi + PoTi — ToPiXftA — W"* 2 = 24^41?,
( K =
[3] ) 4(aA — A a i + poïi — Tofr)(ftA — W m ' = 2^ 1 c 1 4U 2 ,
( ¿(ftA—^oPi) 2 ^ 2 = %i) 2 h 2 ;
en ajoutant les égalités de chaque groupe, opérant les réductions convenables,
les résultats sont
l 1 9 1 = K a oTl To a 0 5
[20] 2^u == m{ “A — A«i + ^oTi — YoPi)
[21] c 1 U = m(p b i 1 — W,
et l’une quelconque de ces équations est, pour obtenir la valeur de U, préfé
rable à l’équation [14]; enfin l'examen de ces équations et de l’équation [18]
prouve que les valeurs de T et de U, sont indépendantes, et cela devait être,
des nombres en partie indéterminés g, h, k.
Les équations [18] et [20] combinées par addition et par soustraction,
donnent les deux équations
[22]
( a <À-
~ ßoTo)T+^U =m(aA-
—Yoßi)
[23]
( a (A~
- ßoTo)T—AU = /w(S 0 «, ■
—ßoTi) ;