Full text: Théorie des nombres

DEUXIÈME PARTIE. 
201 
26 
7o = — 353^,— 950/,, donnent une seconde transformation de (4, 14, 20) 
en (956, 366, 140); par conséquent, 1° le système ¿r 0 = 767, / 0 — — 950 
est une solution de l’équation primitive proposée A(x 0 ) L ’+28.r 0 / 0 +20(j 0 ) 1 2 =956 ; 
2° le système .r 0 = 285,/ 0 = — 353 est une solution de l’équation conjuguée 
“h 28.r 0 / 0 20 (/ 0 ) 2 = 140. Si dans les formules [K] on substitue au sys 
tème t et u les nombres 1454 et 135, les résultats seront a,—7685, (3,=20682, 
—9518, £ 8 =—25615, et par suite, 1° le système x 0 =20682, / 0 =—25615 
est une solution de l’équation proposée; 2° x 0 =7685, / 0 = — 9518 est une 
solution de l’équation conjuguée. Si dans les formules [H] on substitue, 1° à t 
et à u le système 5 454 et 135; 2° aux lettres a 0 , ¡3 0 , y 0 , £ 0 , ^ es nombres-lettres 
a, = 285, (3, = 767, y,=— 353, &, = — 950 obtenus dans la première opéra 
tion , les résultats sont a 3 =207210, [3 3 =557647, y 3 ——256633, £ 3 =—690655, 
et par conséquent, 1° le système x 0 = 557647, j 0 = — 690655 est une solu 
tion de l’équation primitive proposée ; 2° le système ,x 0 =207210,/ 0 =—256633 
est une solution de l’équation conjuguée. 
97. L’équation f — Dm 2 —m 2 considérée d’une manière générale, n est pas 
toujours résoluble en nombres entiers, mais elle a cette dernière propriété 
lorsque le nombre m étant le plus grand commun diviseur des nombres 
A 0 , 2B 0 , A,, le trinôme (A 0 B 0 A,) présente le Déterminant D; la question 
suivante peut donc offrir quelque intérêt, elle nous sera d’ailleurs utile dans la 
suite de celle partie; quelles sont, entre les nombres D et m, les relations qui 
placent l’équation f—D// = nf dans les conditions précitées, c’est-à-dire 
parmi celles dont nous venons de faire l’examen. Décomposons le nombre D 
en deux facteurs /¿ 2 et D,, le nombre m 2 , qui peut être l’unité, contenant l’en 
semble des facteurs carrés qui entrent dans D, deux cas peuvent se présenter. 
1 er Cas. D, — 44 -J- 1. Tout nombre g diviseur de 2n sera une valeur con 
venable pour w, et réciproquement toute valeur convenable pour m sera un 
diviseur de 2n, 1° si le nombre g divise 2//, la résolution en nombres entiers 
de l’équation f — Dm 2 = m? est possible; en effet, le nombre D est le Déter- 
g n ———'j ; en outre, le nombre g est le plus grand 
rainant du trinôme Ig n j; en 
iy 
iy 
commun diviseur des nombres g 2n - 
O pr 
qui est manifestement un nombre entier; 2° si le nombre g 
représente w, si le trinôme (A 0 B 0 A,) a le Déterminant D, enfin si le nombre g-
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.