PREMIÈRE PARTIE.
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CHAPITRE II.
14. Nous avons exposé les principales circonstances que présente l’étude
des relations qui existent entre les nombres déduits de la première série primi
tive et l’équation x â -\-qx-\-r = V .y. Les relations , avec la même équation,
des nombres déduits de la seconde série , sont analogues. Considérons la se
conde des deux séries primitives :
4 r—
4
kr - f+Ar - f + , 4(4r - f) + 2(4;- -«•)
Terme général : n\kr — (f) -j- n(Ur — (f) ^ ,
série que nous représenterons par 0 P, JP, 2 P, ..., K _^P, „-J* ; et si nous dési
gnons par h , s, 2t des nombres dont les relations avec chaque terme de cette
suite sont actuellement bien connues , on a :
P .h — x(x —J— ^r_) —J— ,
P (h s) = (P —*x)(P —■ x — q) -j- r ,
P (^ + J + 2 0 = ( P +*X P +•* + ?) + '’5
de là on déduit :
s - j- t = P, t — 1x -j- q, f -j- 4/‘ —q^ — 4P4,
ou si, comme précédemment, on pose 4r — q*=A, et.par conséquent h — A,
la suite primitive qui nous occupe prend la forme
A —|— 1 9A-fi 25A-H 49A+1 (2« -f 1) 2 A -f 1
T~ ’ 4 ’ 4 ’ 4 ’ 4 ’
et les suites horizontales de la nouvelle table primaire sont représentées par les
formules :
P„=(An’ + A« + i-± i )(N + 1) ! — A(2« + 1XN + 1) + A,
P..+, = (A«’+ An+i£í)(H +1 )* ■+ A(2 n+1 )(N +1 ) + A.
iS. Théobème. Chaque nombre de l’une des suites horizontales P*, et P w+1 ,