62 ANALYSE INDÉTERMINÉE DU SECOND DEGRÉ.
Le tableau VI, deuxième ligne horizontale, première colonne, présente
2n — 1 = 91, de là n = 46 ;
substituant à n le nombre 46 dans la tête de colonne /z 2 -{-r, on a
r=2437, et par suite .£ = 4828,
oc 2 -}- 254—4689/,
4689 —- (254)4 2 =25 2 ,
Le tableau VI, quatrième ligne horizontale, première colonne, présente
4/z —1 — 25, delà n—6;
substituant à « le nombre 6 dans la tête de colonne (/z 2 -(-/■), on a
/= 290, et par suite x — \\ 66.
Le nombre des fonctions de n qui sont utiles, n’est pas d’ailleurs limité; si,
dans le premier exemple précédent, on emploie l’égalité 2/z —j— 1 =91, liée à la
première colonne du tableau, le système-solution appliquée à l’équation pro
posée est /=2346, x=4737; si, dans le second exemple, on emploie léga
lité 4/z —J— i =25 liée à la sixième colonne; le système-solution est
/•=2647, :r=3523.
37. Théorème. Si la résolution de l’équation .£ 2 -}-r — V.j est possible, la
constatation, 1° de la présence dans les tables d’un multiple quelconque P. m\
2° de l’exactitude de l’égalité f{n) — Racine carrée de P. m, le nombre n étant
entier; cette constatation fait connaître en général une valeur de j ; admettons
l’exactitude des égalités P .m—•r.<2 2 = R 2 , y’(/z) = R; de ces égalités on déduit
le système-solution .£=/», z=q, applicable à l’équation £ 2 -j-/- = P. m..z, on
a donc le système x=p, j=q.m, applicable à l’équation proposée.
Nous devons compléter l’étude actuelle par l’examen d’un principe analogue
à celui qui a été établi n° 21, principe composé de deux parties, 1° relation
intime entre la possibilité de résoudre en nombres entiers l’équation x*-\-r=P.y
et la présence dans les tables d’un multiple P. m du nombre P, 2° déduction