PREMIÈRE PARTIE.
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[K]
2 n — $ = y — Æ
indiquerait la possibilité de réaliser l’une des égalités correspondantes [C] et [E],
avec la condition essentielle, le facteur de hq + \ non supérieur à -f- 3 ;
admettons l’inexactitude de la condition [F], c’est-à-dire admettons l’inégalité
[G]
de laquelle on déduit 2n — B < y — 1, et examinons l’influence de cette hypo
thèse sur la condition désignée [D]; à cet effet reprenons l’égalité première [B].
[B] (4<7 4- 1) y- -f nj =(q-j- 2« — • S) 2 -j- 1 2 [«7(2o—A)-f- -{-/?— (2«— o) 2 ].
Dans les hypothèses générales précitées, puisque la racine carrée est q-\-2n—à,
cette racine est inférieure à q -J- ^ -J- 1 ; et si l’on pose [K] 2n— B = — h ,
cette même racine peut être représentée par l’expression — à, les limites
de h étant \ et ^ exclusivement : la substitution de cette racine dans l’éga
lité [B], donne
[M] (4?+l+ _/,)
Le second terme du second membre, c’est-à-dire le reste obtenu dans cette
extraction d’une racine carrée, est égal au nombre r de l’équation proposée;
ce second membre est donc inférieur à {kq-\- 1); nous faciliterons la suite du
raisonnement en égalant provisoirement ce second terme ou ce reste à zéro ; la
valeur de h déduite de cette supposition erronée sera peu différente de la valeur
exacte obtenue en égalant ce même second terme au nombre r, on a donc
de là
l’état négatif du radical étant seul admissible par suite des limites imposées au
nombre h, cette valeur de h fait connaître celle de 4(n — £); en effet, de l’égalité