PREMIÈRE PARTIE.
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qui représente alors la valeur inhérente à celte racine, le résultat est
[Mi] G7+ 3 ) (j-4— +«) — (yH—^ i '\ qn3/ *—-%qh-\-Z(ç-—j — —tij •
si, en rappelant les considérations présentées dans le cas précédent, on égale à
zéro le second terme du second membre de cette égalité, et si on déduit de
cette équation l’égalité suivante, c’est-à-dire la valeur
h = y + ?— \J <t + 4«?« + 3« — qk + 3 (2=^) 5
enfin, si on substitue cette valeur dans l’égalité [K,], on a
4(n —' £)= — h{q -[- ri) -j- yj \ 6^ 2 -j- 64qn -j- 48^ -j- \ — K) —> 16qk ;
alors l’examen comparatif des deux grandeurs suivantes
[NJ —4(<7 —|— /z) —|— y/16<7 2 —|— 64r//z —(— 48/z —12(^—4)—-16^4 et 3(^ 7 ^
indiquera l’état admissible ou non admissible de la condition [DJ toutes les
fois que l’inégalité [GJ sera exacte; si de la quantité placée sous le signe
radical on retranche jjKff -{- ri) -j- 3 ^ -v |, le résultat est
l L J 26 ? « + «(48+64) -16«’ - + g{\2 - ^ - 124.
Ce reste, s’il est positif pour une certaine valeur de n, augmente ensuite avec n,
pourvu que toutes ces valeurs de n restent inférieures à “h | "h ’ donc, si
ce dernier nombre n est limité par les termes 3^ ^ ^ j —3 et 3(? ^, ce
reste est positif; si effectivement on substitue à n le nombre 3j — 3, le
résultat est — + 844-|-288^ , et, dans le cas le
plus défavorable donné par l’hypothèse 4 = 3, ce résultat devient
15<7 2 SBIy 9367
16 8 HT*
Or, ce dernier résultat est positif, si l’on admet q > 61, et par conséquent notre
conclusion sera encore celle que présente la partie analogue du cas précédent.