PAR DES CHANGEMENTS APPROPRIÉS DE VARIABLES.
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défini par l'éqo-
l’expression (~r a) désignant, à volonté, soit le développement
dx 2
-2Ï i/â- +a? , d 1 “ en sera ‘ l carr ® s * ~y~ T exprimait une quantité,
dx
soit la répétition de l’opération indiquée par — — a, c’est-à-dire (vu
la lettre y qui suit) l’expression ^— aj ^^ , qui signifie
qu’il faut prendre la dérivée en x de la fonction —ay et en re
trancher le produit de a par celte même fonction. En effet, cette ex
pression revient au développement trinôme précédent, par suite de ce
fait que le terme — %y a son coefficient a constant et ne donne lieu
dans la différentiation à aucun dédoublement; en sorte que cette opé
ration s’y indique à la manière de la multiplication algébrique d’une
fraction variable — par — a y, dont Je produit serait — a
ffy.
dx
dy
Comme nous venons de voir que l’expression -j- —a y était fortsim-
plifiée par la substitution, à y, de la nouvelle variable q obtenue en
posant y — rje ax , introduisons celle-ci. La dérivée de 'qe* x sera
c llL yt-x _[_ erry**, et il viendra, pour son excédent sur a y, e* x . Celte
expression est analogue à celle, T ( e ax , d'où l’on est parti, et, en lui ap
pliquant l'opération Indiquée par le nouveau facteur symbolique
— a, elle donne de même e Cix . La seconde équation (43), di
visée pare**, puis par [L-, devient donc
(44)
— ß 2 ?l = o ou bien
J. *21-1-,=
ß* dx 2 — 1
o;
et il suffit enfin de prendre pour nouvelle variable indépendante £ le
produit $x, c’est-à-dire de poser
x —
P'
d’où
d_
dx
d
pour la ramener à la forme, extrêmement simple,
= o. Donc
la question proposée revient à chercher les fonctions y) de ç qui éga
lent en valeur absolue leur dérivée seconde, en ayant signe contraire
ou même signe suivant qu’il s’agit de prendre, dans (43), le terme ±^-y
avec le signe supérieur ou avec le signe inférieur —. On voit im
médiatement que, dans le premier cas, les fonctions q = cos£ = cos[3.r