Full text: Compléments (Tome 1, Fascicule 2)

jg 0 * ENVELOPPE INTÉRIEURE ü’üNE FAMILLE DE PARABOLES. 
ces deux branches. Comme on a ici 
F0,7, c)=j —c2(a7 —c) 2 ou y — (ex — c®)*, 
la dérivée de F, par rapport à c, est — 2(ex— c-)(x— 2c). Or, en 
l’annulant d’après la seconde équation (28), il vient bien, i°, soit 
ex— c 2 =o et, par suite, y — o, ce qui est l’enveloppe extérieure, 
2 0 , soit x — 2c — o ou c — ^ et, par suite, / ou (ca? — c 2 ) 2 — ^ 
ce qui est la courbe du quatrième degré constituant l’enveloppe inté 
rieure. Toutes les paraboles de la famille sont tangentes extérieure 
ment à cette courbe ou la touchent par son côté convexe ; mais, tandis 
que, à partir de leur point de contact avec elle, leur partie montante 
s’en éloigne indéfiniment et ne cesse pas de lui être extérieure, celle 
qui, au contraire, descend vers l’axe des x, la coupe ensuite, dans 
son relèvement ultérieur, en deux endroits, pour x — 2c( — 1 ±^2). 
Ces circonstances résultent immédiatement de l’expression 
qui représente l’excédent, pour toutes les abscisses successives x, de 
l’ordonnée y de la parabole du quatrième degré, sur celle d’une para 
bole quelconque de la famille, et qui s’annule, sans changer de 
signe, quand x—q.c, mais de plus, en changeant de signe, quand 
x — 2 c (— 1 ± y/2 ). 
Ainsi, dans cet exemple, l’enveloppe intérieure, tout en limitant 
les courbes de la famille, quant à leurs portions contiguës à ses points 
de contact avec elles, ne limite pas de même leurs parties plus éloignées, 
qui, d’un côté, la coupent. On exprimerait qu’elle ne borne pas la 
totalité, mais seulement une partie de ses enveloppées, en l’appelant 
une enveloppe partielle en même temps qu’une enveloppe intérieure. 
Les paraboles considérées présentent donc cette particularité, digne 
de remarque, de croiser une branche de leur enveloppe à quelque 
distance de leurs points de contact avec elle. 
Observons enfin que, sur l’autre branche y = o, les expressions (82) 
de c se réduisent à c = x et c — o. La seconde de celles-ci étant con 
stante, tandis que la première y prend autant de valeurs que l’abscisse, 
ce lieu, y = o, d’intersections successives de toutes les courbes de la 
famille, est en même temps l’une d’elles, savoir celle, infiniment ou 
verte, dont le point de contact avec l'axe des x se trouve à l’origine.
	        
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