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DANS DES FAMILLES DE COURBES PLANES. ICj r )*
loppes extérieures, concurremment avec le lien d’intersections suc
cessives y ~o de la seconde et y — i de la troisième.
Les équations différentielles de ces trois familles, résultant de l’éli
mination de x — c entre les équations (34) et leurs dérivées, sont
respectivement
(35) y=i—y\ y' 2 = 4jk 2 ( lo S~) 3 » y 2 = 4y i — i )*
Les deux dernières n’admettentpourj'des valeurs (réelles), ou ne don
nent j' 2 positif, qu’autant que l'ordonnée y s’y trouve comprise entre
zéro et i : il n’y a donc, de toute manière, aucune courbe en dehors
des deux enveloppes y — o, y — i que nous venons de trouver. Mais la
première (35) est satisfaite, en dehors des deux limites y = ± r, quand
on y remplace j par l’inverse, coth(.r — c), de la valeur tangh(¿£— c)
que nous lui connaissons entre ces limites; ce qui se voit de suite en
observant que la substitution de ÿ à y transforme la première (35) en
celle
— j i vérifiée identiquement en vertu même
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de (35), vu que ~~ =— —• Il est donc naturel d’associer à la
famille y— tangh(o? — c) de courbes, comprise entre les deux asym
ptotes y = ± i, la famille jy=:cotb(^ — c), bornée intérieurement
par les mêmes asymptotes ou occupant le reste du plan. Mais cela ne
suffit pas pour qu’on doive regarderies droites y =z db i comme des
enveloppes intérieures, ou séparatives de diverses régions dans le
champ d’une même famille, malgré une certaine analogie avec ces en
veloppes : car, bien qu’associées par leur équation différentielle com
mune r'rri—j 2 , les deux familles sont distinctes, puisque leurs
équations finies sont toutes différentes; et, d’ailleurs, les courbes d’au
cune de ces deux familles ne s’étendent des deux côtés de leurs asym
ptotes, sur l’espace voisin, comme le faisaient de part et d’autre de leur
enveloppe intérieure les paraboles étudiées tout à l’heure (p. 190*).
J’ai dit que, même dans la troisième famille (34), où la dérivée de
l’expression correspondante (33) de F en y devient infinie avec c,
celle de F par rapport à c s’annule alors. En effet, elle égale — 2JK(^—c),
expression qui, vu la troisième valeur (34) de y, devient sensible
ment, pour c infini, le quotient de — 2 (x — c) par (x — c) 2 , ou celui
de — 2 par le diviseur infini x — c.
11 n’en sera plus de même si l’on pose
(36) F = JK [ I _ h ( a7 — c) 2 ] — {x — c) ou