QUI EST ASYMPT. SANS QUE LA FONCT. CORRESPONDANTE LE SOIT. T 97*
élément de la seconde courbe, un triangle sensiblement rectangle,
dans lequel l’angle aigu opposé à Д/ aura à fort peu près pour tangente
I ± Ÿ i
± / OU e x ~ c et, pour sinus, le rapport -—- — 5 égal à —-■■■
J v 1 ■+■ У' 1 ^ V 1
L’écart Д/ sera donc le quotient de Дс par y/i + : il croîtra
de zéro à le quand x grandira de—ooàoo; et le rapprochement
relatif des courbes de la famille, appréciable en chaque point d'après
la petitesse, qu’on y observera, de ce rapport de 11 au maximum le,
sera infini, quel que soit x, pour la valeur c = cc du paramètre,
c’est-à-dire sur la ligne y — о de la famille.
Ainsi, l’axe des x est véritablement une ligne asymptote de la famille
y=Ce x = ±e x ~ c . Or il n’aurait plus en propre ce caractère si l’on ne
considérait que des écarts A y', exprimés (sans faire varier x) par
± e *-c-A c — e x ~ c ou, sensiblement, par q=(Ac)e x ~ c , écarts variables
de zéro à l’infini entre les limites x = zp oo et ne fournissant pas de
terme de comparaison pour apprécier les rapprochements. On serait
donc réduit à prendre ces écarts en valeur absolue; et alors ils ne
seraient pas nécessairement plus grands près d’une quelconque des
courbes de la famille que près de toute autre, comme on le voit en les
écrivant zp(e -c lc)e x ou, à fort peu près, e x Л(± e~ c ) — e x ДС, va
leur indépendante de c ou de C si l’on suppose ДС constant. On peut,
dans un tel cas, dire que la droite y — о est une ligne asymptote, et
la seule ligne asymptote, pour la famille des courbes y = Ce x , tandis
qu’elle ne le serait pas, ou du moins ne le serait pas plus que les
autres lignes de la famille, si l’on n’avait en vue que l’étude des fonc
tions y — Ce x .