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ET DE CELLE DE LEURS TANGENTES; POINTS SINGULIERS. !\"j*
est une courbe. Et c’est même une courbe sans jarrets, dont la tan
gente ne tourne, d’un point (x, y) à un autre, que d’une manière gra
duelle. Effectivement, trois points très voisins, P, M, P', y sont tou
jours presque en ligne droite.
Imaginons que le point {x h- A x,y h- Ay) soit pris, comme M (ce, y),
sur la courbe F (a?, y) — C, en P par exemple. Alors AF — o, et les
deux termes principaux ^ Ax, Ay tendent à se neutraliser, quand
Je radical Ay- décroît : autrement dit, leur somme est nulle en
comparaison de ce radical dès que Ax, Ay sont des différentielles dx,
dy, et il en résulte, pour déterminer le rapport mutuel de celles-ci,
(i3)
dF
dx
dx
dF
dy
dy
O.
Or alors la droite de jonction, MP, des deux points (x, y),
(x -+- dx, y q- dy), se réduit, dans la limite que l’on a en vue, à un
simple élément rectiligne, indicateur de la direction d’une sécante
devenue la tangente MT. Si l’on appelle {x ly yy) les coordonnées d’un
point T mobile sur celle-ci (coordonnées dites courantes), comme,
d’après une propriété caractéristique de la ligne droite, leurs accrois
sements x x — x, y x — y éprouvés de M en T seront proportionnels à
MT et garderont entre eux leur rapport initial, relatif à ce premier
instant où l’on avait x l — x — dx et y 1 — y — dy, on pourra, dans
(13), remplacer dx, dy par x l — x, y l — y. 11 viendra, entre x 1 et yy,
la relation
(i4)
dF . . dF .
2^ (*.--*)+^0'.-,r) = o.
C’est donc l’équation de la tangente. Effectivement, résolue par
rapport à y l — y, avec substitution de y', d’après (i i), au quotient
de — par -J-* elle donne
dx 1 dy
(i5) yi—y =y'(xt — x),
équation de la droite passant par le point {x, y) et ayant le coefficient
angulaire y' : or cette droite est bien la tangente issue du point de con
tact (x, y), comme on l’a vu au n° 9 (p. 3i). Mais la forme (i4) vaut,
à plusieurs égards, mieux que celle-ci (i5), plus simple il est vrai :
d’une part, les coefficients de x x — x et deyy — y n’y deviennent jamais
infinis en un point déterminé [x, y)', d’autre part, elle est symétrique
en x et enyy et n’implique, pas plus que l’équation correspondante
F [x, y) — c, le choix d’une variable indépendante spéciale. La for-