l3\* MODES DIVERS DE CALCUL POUR CERTAINES INTÉGRALES DÉFINIES :
par ± oo, les valeurs extrêmes ± in + a de x. Et l’on a
cos(tf 2 — iocx)dx = y (cosa 2 -+- sin a 2 ),
sin(# 2 — i%x) dx = y (cosa 2 — sina 2 ).
(40
Ajoutons enfin, respectivement, ces relations avec celles qui s’en
déduisent par le changement de a en — a, et, observant que les nou
velles fonctions sous le signe f,
cos (a? 2 — 2M) -+- cos ( a? 2 -+- %%x), sin(ar 2 — iix) -H sin(a? 2 -t- 20.x),
sont les fonctions paires 2 cos x 2 cos 2a x, 2 sin^u 2 cos2a,r, ou que
leurs produits par dx peuvent, sauf à doubler ensuite les résultats,
n’être intégrés que de o à oc, divisons finalement par 4- Il viendra
-4- sin a 2 \JTT
tu cosa-
cos
2
2
4
(42)
cos a 2 — sm a 2
a
2
Ainsi se trouvent calculées simplement, pour des valeurs quel
conques de leur paramètre a, les deux intégrales
/ (cos.r 2 ou sinr 2 ) cosizx dx,
do
à partir de leurs valeurs particulières - ^ ' pour a — o.
331*. — Intégrales déduites d’autres par l’attribution, à certains
paramètres, de valeurs imaginaires.
On remarquera que la seconde formule (87) [p. i3E] se déduit de
la première par le changement de a en a \J— 1, qui transforme coh (2 a#)
en cos(2a^r) et e a ‘ en e -a ’ : ; que, de même, la relation (33) [p. 129*],
en y faisant a = — b\/~ 1 et, par suite,
\' a \Jb y / _ v /_ I \Jb \Jib
devient