l/,8* EMPLOI DE L’EXPRESSION ASYMPTOT. DES INTÉGRALES
X f{x)dx
coli"¿c
/■
’ f{x ) sih % xdx
}
coh' i+2 a?
que l’on peut écrire
'f(x) si h 57 ^
coh /i+1 j?
• Or
n -f- I
cette dernière, intégrée par parties, donnera
/ i /(a?) sih a? i rf(x)cohx-^/'(x)sihx ^
coh n+l x
n -+-1 coli' i+1 x n-’rij
i f(x) sih a? I«
J f'( x )d
coh ,l aC
( n -+-1 ) n v
n -+-1 coh /i4 ' 1 x n -t- x
et le dernier terme, traité de même au moyen de l’intégration par
parties, deviendra
I
r /'(»)
rf"{x) dx n
J [/'(*) +jfclI l
(li -1- i)n
CO 11 11 X ^
/ coh ,l a; J (n-
h i )n Lcoh ,l a?
On aura donc, en définitive, à une constante arbitraire près,
n f{x) siha; -+-/'( a? ) coh a?
i) Co\í n+i X
La constante arbitraire à ajouter au second membre sera même
nulle si, comme nous l’admettrons, ou prend — oo pour limite infé
rieure. Car l’intégrale \ n étant alors supposée finie même quand on la
compte à partir de cette limite, il est entendu, par le fait même, que
f{x), lorsqu’il a la forme Asib(const. ±zkx) -+-Bcoli(const. ± kx) et
qu’il devient, par conséquent, infini, comme cohAa;, pour x~ ±oo,Ie
devient infiniment moins que le dénominateur coh*a?. Or, eolia; se
trouvant comparable à e'f* 1 et coliga;, comparable à eou à cohnx,
il suit de là que le nombre positif k est alors inférieur à «, et que,
dans (i4), le double terme intégré, où f{x) et f{x) deviennent de
l’ordre de cob/ca; pour x très grand, tend vers zéi’o, comme si f{x)
et f{x) étaient proportionnels à des sinus ou à des cosinus circulaires,
vu le dénominateur coh /i+1 a;, dont le rapport à un numérateur,
nf{x) sih x -\-f {x) coba;, de l’ordre de coh kx coba;, grandit sans
limite. Ainsi, le second terme de la formule (i4) s’annulera pour
x——oo, comme le premier et le troisième affectés de I„ +2 et I„; en
sorte que la constante arbitraire à joindre au second membre se trou
vera bien réduite à zéro.
Cette formule (i4) serait propre à donner I„ +2 si I rt était connu.
Mais, comme nous voulons ramener, au contraire, I /t à I, l+2 , il faut la