FORMÉES AVEC LES INVERS. DES PUISS. DES NOMBR. ENT. OU IMPAIRS.
En continuant de même, on voit que la série d’où l’on est parti,
+ ‘ n .v - 4- • • •, égale à — entre les limites o et ir, conduit,
I J 4
entre les mêmes limites, à des expressions finies, rationnelles et en
tières (en x) des séries trigonométriques rentrant dans chacun des
deux types
sma?
t 2/i+l
si 11 1>X
3 2 " +1
-h ... ; et qu’il en
résulte l égalité, au produit de facteurs commensurables par tt 2 " ou
par TC 2/i+1 , des séries numériques respectives
(5g bis)
i r
~ 3 2 « ~ à 2 « + ' ' ’
et
£ 2 V—1 ^2/i-f-l
dont la seconde u’est autre, pour n — o, que l’expression de ~ trouvée
4
par Leibnitz.
Un raisonnement très simple, exposé, pour le cas n~2, dans le
n° 22* (t. I, p. 28*) où nous avions déjà obtenu d’une autre manière
la formule (53), ramène d’ailleurs la série, que j’appellerai S,„, formée
par les puissances d’un certain degré m des inverses des entiers 1, 2,
3,..., à la série que composent les puissances analogues des Inverses
des seuls impairs 1, 3, 5, .... Ce raisonnement consiste à dire que
l’on a
et, par suite,
2" 1 /1 I I
(®°) .¿m ( ' [ in 3 m 1 5m T j
Il viendra donc, en particulier, pour m — 2 et m — 4> vu les formules
(53) et (58),
(61)
—2
1T
i 1 1
—r -H -7 -t- 77
i* 2*
-t-.
9°
Les sommes des séries numériques remarquables (bi), (5q bis) ont
été, en premier lieu, déduites (plus ou moins directement) pai Lulei
de la décomposition de siax et cos^? en facteurs, qu’il avait lui-même
découverte et qui rend évidente (t. I, p. 27 ) la plus utile de ces
sommes, savoir, la première (61), relative aux inierses des caiiés
entiers.