!C ' T -^ T1
N! ' UUod üneairi
11118 i» Rie,
'® %
‘ st '^lire < ans «
r>
as, !«e r,//'
ipporl 1.
r
"* ^cond ordre
,M, ‘ S r jeu). >j 0n
• l!l< ie tjpe i]uadri-
b" i île taire ¿va-
plniue directement
¡v-n
j n \, c est-à-füre
, et ietjua-
«?oir t-mS
ispara'tre ces fo
fa la ferme mi«
If.
ÉQUAT. DU SECOND ORDRE DONT ON CONNAIT UNE SOLUT. PARTICULIÈRE. 257*
tion (32), divisée para, devient Y"+^ + P | +QjY = o, rela
tion qui est bien de la forme (29) avec P = o.
Faisons ainsi P = o dans (29), ou donnons-nous l’équation
y" + Q/ = o; et sa transformée (3o) en u sera u' -h ?e 2 + Q = o, équa
tion identique (sauf la notation u au lieu de 7) à celle (3o) de Ric-
cati (p. 241*) quand on prend Q de la forme —ax m . Ainsi, les in
tégrations des deux équations, l’une, linéaire et binôme, mais du
second ordre, l’autre, du premier ordre, mais trinôme et non Li
néaire,
(33) y" = ax m y, u'-1- iP- = ax m ( avec u = • —
\ y J
constituent deux problèmes étroitement liés ensemble. Le second,
qui est celui de Riccali, se ramène donc au premier, que l’on juge
ordinairement plus simple. Il suffît d’ailleurs d’y obtenir une inté
grale particulière, c’est-à-dire une quelconque des fonctions 7 de x
donnant y”— ax m y; car l’expression correspondante — de u sera une
solution particulière de l’équation de Riccati u' -+- id- — ax m , ce qui
ramènera aux quadratures, comme on a vu à la fin du même n° 370*
(p. 242*), la formation de l’expression générale de u.
383* — Réduction, aux quadratures, de l’intégration de l’équation li
néaire du second ordre dont une solution particulière est donnée ;
abaissement de l’ordre de toute équation linéaire, avec conservation
de la forme linéaire, quand on connaît une ou plusieurs intégrales
particulières de l’équation analogue sans second membre.
Cette propriété, établie au n° 370*, en vertu de laquelle J’équaliou
(3o) ci-dessus peut être intégrée d’une manière générale dès qu’on
donne une de ses solutions particulières, appartient aussi à l’équa
tion (29), puisque la connaissance d’une solution particulière de (29)
entraîne celle de la solution correspondante u — J ~ de (3o) et, par
suite, l’intégration complète de (3o), c’est-à-dire la formation géné
rale de u, d’où se déduira, pour 7, l’expression non moins générale
Qgfudx
On le reconnaît directement sur l’équation (29) en y prenant, comme
ci-dessus, 7 = a Y, mais en y supposant a solution particulière de
l’équation, c’est-à-dire tel, que a"+Pa'+Qtir:o, de manière à
annuler, dans la transformée (32), le terme en L, et non plus le terme
B. — II. Partie complémentaire, 17